Iroquois
(adjectif, subst. masculin)Définition(s) disponible(s) :
 Signification développée en 1986 par l’académie Française (ACAD - 1986).
 Signification développée en 1986 par l’académie Française (ACAD - 1986). Signification éditée par l’Académie Française, année 1932.
 Signification éditée par l’Académie Française, année 1932. Ancienne définition académique pour le terme « iroquois » (parue en 1835).
 Ancienne définition académique pour le terme « iroquois » (parue en 1835). Définition du mot « iroquois » par Emile Littré (édition de 1876).
 Définition du mot « iroquois » par Emile Littré (édition de 1876).Merci  à Pascal et Ozanne pour la numérisation du mot iroquois.
			
N°2 - repris par Émile DURKHEIM dans son ouvrage «De la division du travail social».
N°3 - Iroquois, terme cité par Maxime DU CAMP dans son œuvre «Mémoires d'un suicidé».
N°4 - mot intégré par François de CHATEAUBRIAND au sein de son livre «Génie du christianisme ou Beautés de la religion chrétienne».
N°5 - Iroquois, terme cité par François de CHATEAUBRIAND au sein de son œuvre «Génie du christianisme ou Beautés de la religion chrétienne».
 
                    
                Emplacement dans le dictionnaire :
Quelques citations et utilisation du mot iroquois dans la littérature et les publications journalistiques :
N°1 - Iroquois, repris par Émile DURKHEIM dans son ouvrage «De la division du travail social».N°2 - repris par Émile DURKHEIM dans son ouvrage «De la division du travail social».
N°3 - Iroquois, terme cité par Maxime DU CAMP dans son œuvre «Mémoires d'un suicidé».
N°4 - mot intégré par François de CHATEAUBRIAND au sein de son livre «Génie du christianisme ou Beautés de la religion chrétienne».
N°5 - Iroquois, terme cité par François de CHATEAUBRIAND au sein de son œuvre «Génie du christianisme ou Beautés de la religion chrétienne».
 
                    



