Verdoyant
(adjectif)Définition(s) disponible(s) :
 Signification parue en 1932 dans dictionnaire de l’Académie Française.
 Signification parue en 1932 dans dictionnaire de l’Académie Française. Ancienne définition académique pour le terme « verdoyant » (parue en 1835).
 Ancienne définition académique pour le terme « verdoyant » (parue en 1835). Ancienne définition de l’Académie Française (édition de 1798) pour le mot « verdoyant ».
 Ancienne définition de l’Académie Française (édition de 1798) pour le mot « verdoyant ». Signification éditée en 1876 pour le terme « verdoyant » par Emile Littré.
 Signification éditée en 1876 pour le terme « verdoyant » par Emile Littré.Merci  à Angelique et Céleste pour la numérisation du mot verdoyant.
			
Le synonyme le plus proche de verdoyant est : fertile.
Autres synonymes usités:

N°2 - intégré par Charles NODIER au sein de son livre «Trésor des Fèves et Fleur des Pois».
N°3 - Verdoyant, mot intégré par Théodore de BANVILLE dans son œuvre «Les Exilés».
N°4 - cité par Jules VERNE dans son livre «L'Île mystérieuse».
N°5 - Verdoyant, intégré par BERNARDIN DE SAINT-PIERRE dans son ouvrage «Harmonies de la nature : t. 2».
 
                    
                Synonymes les plus fréquemment utilisés pour le terme « verdoyant ».
Le synonyme le plus proche de verdoyant est : fertile.
Autres synonymes usités:

Emplacement dans le dictionnaire :
|  verdée  verdelet  verdeur  verdict  verdier  verdière  verdique |  verdissant  verdoyant  verdure  verdurier  vereux  véreux  verge |  vergé  vergée  verges  vergeté  vergette  vergettes  verglacé | 
Quelques citations et utilisation du mot verdoyant dans la littérature et les publications journalistiques :
N°1 - Verdoyant, mot intégré par Jean MORÉAS au sein de son livre «Les Stances».N°2 - intégré par Charles NODIER au sein de son livre «Trésor des Fèves et Fleur des Pois».
N°3 - Verdoyant, mot intégré par Théodore de BANVILLE dans son œuvre «Les Exilés».
N°4 - cité par Jules VERNE dans son livre «L'Île mystérieuse».
N°5 - Verdoyant, intégré par BERNARDIN DE SAINT-PIERRE dans son ouvrage «Harmonies de la nature : t. 2».
 
                    



