Sourdine
(nom féminin, subst. féminin)Définition(s) disponible(s) :
 Définition développée dans dictionnaire académique,  1932.
 Définition développée dans dictionnaire académique,  1932. Ancienne définition de « sourdine » de source académique (Académie Française, parution de 1835).
 Ancienne définition de « sourdine » de source académique (Académie Française, parution de 1835). Ancienne signification développée en 1798 par l’académie Française (ACAD - 1798).
 Ancienne signification développée en 1798 par l’académie Française (ACAD - 1798). Signification éditée en 2010 par l’équipe de la-definition.fr.
 Signification éditée en 2010 par l’équipe de la-definition.fr.Merci  à Laurette et Gilberte pour la numérisation du mot sourdine.
			
N°2 - cité par Georges RODENBACH au sein de son livre «Le Règne du silence».
N°3 - Sourdine, repris par Georges RODENBACH au sein de son œuvre «Le Règne du silence».
N°4 - cité par Joris-Karl HUYSMANS au sein de son livre «À rebours».
N°5 - Sourdine, intégré par VILLIERS DE L'ISLE-ADAM au sein de son ouvrage «Contes cruels».
 
                    
                Emplacement dans le dictionnaire :
Quelques citations et utilisation du mot sourdine dans la littérature et les publications journalistiques :
N°1 - Sourdine, mot intégré par Georges RODENBACH au sein de son ouvrage «Le Règne du silence».N°2 - cité par Georges RODENBACH au sein de son livre «Le Règne du silence».
N°3 - Sourdine, repris par Georges RODENBACH au sein de son œuvre «Le Règne du silence».
N°4 - cité par Joris-Karl HUYSMANS au sein de son livre «À rebours».
N°5 - Sourdine, intégré par VILLIERS DE L'ISLE-ADAM au sein de son ouvrage «Contes cruels».
 
                    



