Plaisamment
(adverbe)Définition(s) disponible(s) :
 Définition de « plaisamment » de source académique (Académie Française, parution de 1986).
 Définition de « plaisamment » de source académique (Académie Française, parution de 1986). Définition développée dans dictionnaire académique,  1932.
 Définition développée dans dictionnaire académique,  1932. Ancienne définition développée dans dictionnaire académique,  1835.
 Ancienne définition développée dans dictionnaire académique,  1835. Ancienne définition du mot « plaisamment » par l’Académie Française (édition de 1798).
 Ancienne définition du mot « plaisamment » par l’Académie Française (édition de 1798).Merci  à Amaury et Hortense pour la numérisation du mot plaisamment.
			
N°2 - repris par Victor de JOUY dans son œuvre «L'Hermite de la Chaussée-d'Antin ou Observations sur les mœurs et les usages parisiens au commenceme».
N°3 - Plaisamment, terme cité par Victor de JOUY au sein de son ouvrage «L'Hermite de la Chaussée-d'Antin ou Observations sur les mœurs et les usages parisiens au commenceme».
N°4 - intégré par Hippolyte TAINE au sein de son œuvre «Notes sur Paris : Vie et opinions de M. Frédéric Thomas Graindorge, docteur en philosophie de l'Univ».
 
                    
                Emplacement dans le dictionnaire :
|  plain  plain-chant  plaindre  plaine  plaint  plainte  plaintif |  plaintivement  plaire  plaisamment  plaisance  plaisant  plaisanter  plaisanterie |  plaisantin  plaise  plaisir  plamage  plamee  plamée  plamer | 
Quelques citations et utilisation du mot plaisamment dans la littérature et les publications journalistiques :
N°1 - Plaisamment, repris par Louis HÉMON au sein de son œuvre «Maria Chapdelaine».N°2 - repris par Victor de JOUY dans son œuvre «L'Hermite de la Chaussée-d'Antin ou Observations sur les mœurs et les usages parisiens au commenceme».
N°3 - Plaisamment, terme cité par Victor de JOUY au sein de son ouvrage «L'Hermite de la Chaussée-d'Antin ou Observations sur les mœurs et les usages parisiens au commenceme».
N°4 - intégré par Hippolyte TAINE au sein de son œuvre «Notes sur Paris : Vie et opinions de M. Frédéric Thomas Graindorge, docteur en philosophie de l'Univ».
 
                    



