Patois
(nom masculin)Définition(s) disponible(s) :
 Signification éditée en 1986 pour le terme « patois » par l’Académie Française.
 Signification éditée en 1986 pour le terme « patois » par l’Académie Française. Définition de l’Académie Française (édition de 1932) pour le mot « patois ».
 Définition de l’Académie Française (édition de 1932) pour le mot « patois ». Ancienne définition du mot « patois » par l’Académie Française (édition de 1835).
 Ancienne définition du mot « patois » par l’Académie Française (édition de 1835). Ancienne définition « patois » du dictionnaire académique Français, parution de l’année 1798.
 Ancienne définition « patois » du dictionnaire académique Français, parution de l’année 1798.Merci  à Gaétan et Guillaume pour la numérisation du mot patois.
			
Le synonyme le plus proche de patois est : langue.
Autres synonymes usités:

N°2 - mot intégré par Pierre LOTI dans son livre «Le Roman d'un enfant».
N°3 - Patois, intégré par Pierre LOTI dans son ouvrage «Le Roman d'un enfant».
N°4 - mot intégré par Edmond ROSTAND dans son livre «Cyrano de Bergerac».
N°5 - Patois, intégré par Émile DURKHEIM dans son ouvrage «De la division du travail social».
 
                    
                Synonymes les plus fréquemment utilisés pour le terme « patois ».
Le synonyme le plus proche de patois est : langue.
Autres synonymes usités:

Emplacement dans le dictionnaire :
|  pàtir  pâtir  patir  pâtis  patissant  pâtisser  pâtisserie |  pâtissier  patois  patoisant  patoiser  patouille  patouiller  patouilleur |  patraque  pâtre  patres  patriarcal  patriarche  patrice  patricien | 
Quelques citations et utilisation du mot patois dans la littérature et les publications journalistiques :
N°1 - Patois, intégré par Pierre LOTI au sein de son œuvre «Le Roman d'un enfant».N°2 - mot intégré par Pierre LOTI dans son livre «Le Roman d'un enfant».
N°3 - Patois, intégré par Pierre LOTI dans son ouvrage «Le Roman d'un enfant».
N°4 - mot intégré par Edmond ROSTAND dans son livre «Cyrano de Bergerac».
N°5 - Patois, intégré par Émile DURKHEIM dans son ouvrage «De la division du travail social».
 
                    



