Faubourg
(nom masculin)Définition(s) disponible(s) :
 Signification issue du dico de l’Académie Française, parue en 1986.
 Signification issue du dico de l’Académie Française, parue en 1986. Définition académique pour le terme « faubourg » (parue en 1932).
 Définition académique pour le terme « faubourg » (parue en 1932). Ancienne signification parue en 1835 dans dictionnaire de l’Académie Française.
 Ancienne signification parue en 1835 dans dictionnaire de l’Académie Française. Ancienne signification parue en 1798 dans dictionnaire de l’Académie Française.
 Ancienne signification parue en 1798 dans dictionnaire de l’Académie Française.Merci  à Iréné et Faustine pour la numérisation du mot faubourg.
			
Le synonyme le plus proche de faubourg est : environs.
Autres synonymes usités:

N°2 - repris par Georges RODENBACH au sein de son ouvrage «Le Règne du silence».
N°3 - Faubourg, terme cité par Georges RODENBACH dans son œuvre «Le Règne du silence».
N°4 - terme cité par Georges RODENBACH dans son livre «Le Règne du silence».
N°5 - Faubourg, mot intégré par Georges RODENBACH au sein de son livre «Le Règne du silence».
 
                    
                Synonymes les plus fréquemment utilisés pour le terme « faubourg ».
Le synonyme le plus proche de faubourg est : environs.
Autres synonymes usités:

Emplacement dans le dictionnaire :
|  fatigant  fatigue  fatigué  fatiguer  fatras  fatrasser  fatuité |  fatum  fauberter  faubourg  faucarder  fauché  fauche  faucher |  faucheur  faucheur ou faucheux  faucille  fauciller  faucon  fauder  faufiler | 
Quelques citations et utilisation du mot faubourg dans la littérature et les publications journalistiques :
N°1 - Faubourg, terme cité par Georges RODENBACH au sein de son livre «Le Règne du silence».N°2 - repris par Georges RODENBACH au sein de son ouvrage «Le Règne du silence».
N°3 - Faubourg, terme cité par Georges RODENBACH dans son œuvre «Le Règne du silence».
N°4 - terme cité par Georges RODENBACH dans son livre «Le Règne du silence».
N°5 - Faubourg, mot intégré par Georges RODENBACH au sein de son livre «Le Règne du silence».
 
                    



