Entablement
(nom masculin)Définition(s) disponible(s) :
 Définition du mot « entablement » par l’Académie Française (édition de 1986).
 Définition du mot « entablement » par l’Académie Française (édition de 1986). Définition de « entablement » de source académique (Académie Française, parution de 1932).
 Définition de « entablement » de source académique (Académie Française, parution de 1932). Ancienne définition académique pour le terme « entablement » (parue en 1835).
 Ancienne définition académique pour le terme « entablement » (parue en 1835). Ancienne signification parue en 1798 dans dictionnaire de l’Académie Française.
 Ancienne signification parue en 1798 dans dictionnaire de l’Académie Française.Merci  à Aurelien et Géraud pour la numérisation du mot entablement.
			
N°2 - terme cité par Théodore de BANVILLE dans son livre «Les Cariatides».
N°3 - Entablement, cité par Léon CLADEL dans son livre «Ompdrailles, le tombeau des lutteurs».
N°4 - intégré par Jean DUSAULX au sein de son œuvre «Voyage à Barège et dans les Hautes-Pyrénées fait en 1788».
N°5 - Entablement, cité par Victor HUGO dans son œuvre «Les Travailleurs de la mer».
 
                    
                Emplacement dans le dictionnaire :
Quelques citations et utilisation du mot entablement dans la littérature et les publications journalistiques :
N°1 - Entablement, intégré par André THEURIET dans son œuvre «La Maison des deux barbeaux».N°2 - terme cité par Théodore de BANVILLE dans son livre «Les Cariatides».
N°3 - Entablement, cité par Léon CLADEL dans son livre «Ompdrailles, le tombeau des lutteurs».
N°4 - intégré par Jean DUSAULX au sein de son œuvre «Voyage à Barège et dans les Hautes-Pyrénées fait en 1788».
N°5 - Entablement, cité par Victor HUGO dans son œuvre «Les Travailleurs de la mer».
 
                    



