Cristallisation
(nom féminin)Définition(s) disponible(s) :
Définition « cristallisation » du dictionnaire académique Français, parution de l’année 1986. Définition « cristallisation » du dictionnaire académique Français, parution de l’année 1932. Ancienne définition développée dans dictionnaire académique, 1835. Ancienne signification parue en 1798 dans dictionnaire de l’Académie Française.
Merci à Aurore et Claudine pour la numérisation du mot cristallisation.
N°2 - terme cité par Paul VIDAL DE LA BLACHE dans son œuvre «Principes de géographie humaine».
N°3 - Cristallisation, mot intégré par Antoine COURNOT au sein de son livre «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».
N°4 - cité par Antoine COURNOT au sein de son livre «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».
N°5 - Cristallisation, repris par Antoine COURNOT dans son ouvrage «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».
Emplacement dans le dictionnaire :
| crispin criss crisser crissures cristal cristallerie cristallin | cristalline cristallisable cristallisation cristalliser cristallo-électrique cristallographie cristalloïde | cristallologique cristallométrique cristallotechnique criste-marine critère critère ou criterium critérium |
Quelques citations et utilisation du mot cristallisation dans la littérature et les publications journalistiques :
N°1 - Cristallisation, intégré par Émile DURKHEIM dans son ouvrage «De la division du travail social».N°2 - terme cité par Paul VIDAL DE LA BLACHE dans son œuvre «Principes de géographie humaine».
N°3 - Cristallisation, mot intégré par Antoine COURNOT au sein de son livre «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».
N°4 - cité par Antoine COURNOT au sein de son livre «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».
N°5 - Cristallisation, repris par Antoine COURNOT dans son ouvrage «Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique».